Médiathèque

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Lapin blanc
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Neige rouge
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Ours
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Mains et bras sur fond rose

Le niveau d’expression du gène EPAS1 de cellules endothéliales issues de cordons ombilicaux a été mesuré in vitro. Ces cellules proviennent d’individus Tibétains soit homozygotes T//T (phénotype « sauvage », c’est-à-dire le plus répandu dans la population mondiale) ou homozygotes A//A (phénotype ada...

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Niveau d’expression du gène EPAS1 dans des cellules endothéliales homozygotes T//T ou A//A au cours d’un traitement hypoxique prolongé

Des fossiles humains, datés de différentes périodes, ont été génotypés afin de déduire la pigmentation de leur peau. Trois catégories ont été définies : claire, intermédiaire et foncée. Les intervalles de dates (en AEC, années avant notre ère, c’est-à-dire avant Jésus-Christ) indiqués pour chaque pé...

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Évolution de la pigmentation de la peau du Paléolithique à l'Âge du fer

On se place dans un cas fictif où la pigmentation de la peau serait sous l’influence de trois gènes présentant chacun deux allèles : les allèles notés en majuscule (A, B, C), représentés par des carrés sombres, conduisent à une production importante de mélanine tandis que les allèles notés en minusc...

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Génétique de la pigmentation de la peau

Les différentes formes de sélection naturelle laissent des signatures moléculaires différentes dans le génome des populations. En détectant ces signatures, il est donc possible de déduire la forme de sélection s’étant exercée sur un locus particulier. Cette figure illustre l’évolution de différents ...

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Les différents régimes de sélection et leurs signatures moléculaires

À gauche, l’hormone GLP-1 est représentée en rose dans son récepteur GLP-1R. Au centre, l’exendine, est représentée en rouge liée au même récepteur GLP-1R. À droite, l’hormone GIP est représentée en vert liée à son récepteur GIPR.

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Les interactions entre les hormones GLP-1, exendine 4 et GIP et les récepteurs couplés aux protéines G

L’exendine, représentée en rouge, se lie au récepteur GLP-1R, représenté en violet. Le récepteur couplé aux protéines G est associée à une protéine Gs, dont les trois sous-unités sont représentées en orange (alpha), saumon (bêta) et jaune (gamma).

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L'exendine 4 et sa fixation au récepteur GLP-1R

À gauche, le GLP-1 se lie au récepteur GLP-1, qui est lui-même lié à une protéine G trimérique (entrée PDB 6B3J). À droite, la liaison du GIP à un récepteur GIP lié à une protéine G a été représentée (entrée PDB 7RA3).

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GLP-1 lié à son récepteur GLP-1R et GIP lié à son récepteur GIPR

GIP : glucose-dependent insulinotropic polypeptide, ou peptide insulinotrope dépendant du glucose ; GLP-1 : glucagon-like peptide 1.

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Les incrétines GLP-1 (rose) et GIP (vert)

On considère un exemple fictif d’une population d’amphibiens présentant une variation continue de la coloration de leur peau, selon une distribution normale. En fonction du ou des phénotypes favorisés (par exemple du fait d’une prédation plus ou moins importante selon la coloration), différents type...

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La sélection s’exerçant sur un caractère à variation continue peut modifier la distribution des phénotypes de différentes façons : sélection directionnelle, sélection stabilisante et sélection divergente
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