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Représentés sur les photos, de gauche à droite : Amborella, nymphéa, badianier (espèce proche de l’anis étoilé, du genre Illicium), tulipier, ciste, jonc fleuri (Butomus). Il est à noter que les relations présentées ici reflètent l’opinion majoritaire au sein des spécialistes, mais ces relations res...
Légende : Représentés sur les photos, de gauche à droite : ciste, cycas, ginkgo, éphedra, pin. Il est à noter que les relations présentées ici reflètent l’opinion majoritaire au sein des spécialistes, mais ces relations restent à l’heure actuelle incertaines. Photo Ginkgo : Wouter Hagens, domaine pu...
Image du profil isoélectrique de l’époétine alpha et bêta (rEPO), de l’érythropoïétine urinaire endogène (uEPO) et de l’agent de stimulation de l’érythropoïèse Aranesp (darbépoétine alpha)saurer Bereich = zone acide ; neutraler Bereich = zone neutre ; alkalisher Bereich = zone alcaline.
(a) Séquence de l’EPO avec mise en évidence des asparagines (N) et de la sérine (S) glycosylées, ainsi que des cystéines (C) impliquées dans la formation de ponts disulfures (voir également Figure 3). (b) Au-dessus de chaque pic la marque de couleur indique une composition particulière en glycanes ...
La fixation du ligand EPO sur son récepteur entraîne un changement de conformation de ce dernier et un rapprochement des deux molécules du récepteur (homodimérisation). Ceci induit la phosphorylation des deux Janus kinases 2 (JAK2, une tyrosine kinase) ainsi que celle des tyrosines du récepteur de l...
L’EPO comporte un cœur protéique et 4 chaînes glucidiques. Il existe quatre sites de glycosylation. Trois de ces sites correspondent à de la N-glycosylation (sur l’acide aminé asparagine : Asn 24, 38 et 83), ces acides aminés portent des arbres glucidiques relativement importants, et un site de O-gl...
