Les interactions entre les protéines E1et E2 du virus de l’encéphalite équine de l’Est avec le sulfate d’héparane et le récepteur des VLDL
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Les interactions entre les protéines E1 (représentées en vert) et E2 (représentées en jaune) du virus de l’encéphalite équine de l’Est avec le sulfate d’héparane (représenté en rose) et le récepteur des VLDL (représenté en violet)
Les interactions entre les protéines E1 (représentées en vert) et E2 (représentées en jaune) du virus de l’encéphalite équine de l’Est avec le sulfate d’héparane (représenté en rose) et le récepteur des VLDL (représenté en violet)
Le sulfate d’héparane (représenté en rose, 6ODF) et le récepteur des lipoprotéines de très faible densité VLDLR (représenté en violet, 8UFC) peuvent tous deux agir en tant que récepteurs du virus de l’encéphalite équine de l’Est (dont les protéines E1 et E2 sont représentées respectivement en vert et en jaune).
Une coupe transversale du virus est présentée en dessous, avec la membrane de l’enveloppe virale représentée en gris semi-transparent et les protéines de la capside en bleu.
Les bactériophages tempérés peuvent soit entrer en lyse, tuant l’hôte et libérant un grand nombre de virions, soit en lysogénie. Dans ce cas, leur génome s’insère dans celui de l’hôte et le bactériophage se multiplie donc, sous forme de prophage, au rythme des divisions bactériennes. Les bactériopha...
Les protéines d'enveloppe sont en jaune et en rouge, les glycosylations en turquoise. Des portions de la protéine de membrane, en magenta, peuvent être aperçues entre les protéines d'enveloppe.
Image en microscopie électronique à balayage de virions du virus Ebola bourgeonnant à la surface d'une cellule Vero (lignée de cellules de rein de singe vert, Chlorocebus sp.).
L’hémagglutinine H5 normale fixant de l’acide sialique sur un glycane d’un récepteur d’origine aviaire (à gauche) et la forme mutée (à droite) fixant de l’acide sialique sur un récepteur d’origine mammalienne.