Les différents modes de propagation des bactériophages : cycle lytique et cycle lysogénique
Les bactériophages tempérés peuvent soit entrer en lyse, tuant l’hôte et libérant un grand nombre de virions, soit en lysogénie. Dans ce cas, leur génome s’insère dans celui de l’hôte et le bactériophage se multiplie donc, sous forme de prophage, au rythme des divisions bactériennes. Les bactériophages dormants peuvent plus tard entrer en lyse ; c’est l’induction.
On distingue bien la racine en formation avec des poils absorbants, et deux feuilles avec des tissus vasculaires en différenciation. Mosaïque composée à partir de différents clichés en microscopie optique.
Le sulfate d’héparane (représenté en rose, 6ODF) et le récepteur des lipoprotéines de très faible densité VLDLR (représenté en violet, 8UFC) peuvent tous deux agir en tant que récepteurs du virus de l’encéphalite équine de l’Est (dont les protéines E1 et E2 sont représentées respectivement en vert et en jaune).
Le sore est granuleux car constitué par l’amas de nombreux sporanges. L’un des sporanges contient encore des spores de couleur jaune ; l’assise mécanique est bien visible. Noter également la présence d’une nervure, correspondant aux tissus vasculaires.
Les trimères d’hémagglutinine liés à des analogues de récepteurs d’acides sialiques (en orange) sont représentés en vue de dessus et de côté. L’hémagglutinine H5 de la grippe aviaire est représentée en violet et l’hémagglutinine H1 de la grippe humaine est représentée en bleu.