Les chercheurs américains Andrew Z. Fire et Craig C. Mello ont été récompensés par l’académie Nobel et recevront le prix de physiologie ou médecine 2006 pour leurs travaux sur les petits ARN interférents. Cette avancée majeure, qui bouleverse notre vision de la régulation de l’expression génétique, pourrait également permettre le développement de nombreuses applications thérapeutiques.

Il y a quelques mois, le site « Vie » avait d’ailleurs consacré un article à ce nouveau monde des petits ARN interférents, présentant leur mode de fonctionnement mais également l’historique de leur découverte (incluant la contribution essentielle de Fire et Mello) ainsi que certaines pistes thérapeutiques actuellement explorées.

 

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