À gauche : une abeille sur l’inflorescence d’une Astéracée. Les abeilles se nourrissent du nectar et/ou du pollen des fleurs qu’elles visitent et participent à la reproduction de celles-ci en transportant le pollen de fleurs en fleurs.
À droite : le lichen Xanthoria parietina est formé de l’association d’un partenaire photosynthétique (photobionte), d’un partenaire fongique (mycobionte) et de levures.
Source : Abeille sur une inflorescence de pissenlit : Jean-Raphaël Guillaumin, CC-BY-SA, Flickr. Xanthoria parietina : hedera.baltica, CC-BY-SA, Flickr.
Une abeille solitaire du genre Anthophora pollinise une fleur de sauge (genre Salvia, famille des Lamiacées). L’abeille a été attirée par la coloration de la fleur, sa symétrie bilatérale et son odeur. On distingue les étamines « à bascule » qui lui tapotent le dos. Les poils de l’abeille permettent...
De gauche à droite et de haut en bas :
Herbivorie : Une chenille de paon-du-jour (Aglais io) mange une feuille de grande ortie (Urtica dioica).
Prédation : une famille de lions dévore un buffle d’Afrique.
Parasitisme : une tique en train de mordre un humain.
Parasitoïde : un ichneumon (guêpe parasit...
Ces nodosités hébergent des bactéries diazotrophes du genre Rhizobium, celles-ci fixent le diazote atmosphérique N2 et le convertissent en ions ammonium NH4+ utilisables par la plante, en échange de sucres issus de la photosynthèse.
Les bactéries sont incluses, sous forme de bactéroïdes, dans la membrane péribactéroïde, d’origine végétale. L’ensemble se comporte comme un organite, le symbiosome, spécialisé dans la fixation du diazote venant de l’atmosphère. Selon les espèces hôtes, chaque symbiosome peut contenir une seule ou p...
Les filaments blancs sont des hyphes mycéliens. Ils facilitent l’absorption hydrominérale des racines et reçoivent en échange des sucres issus de la photosynthèse.
