Dans le cas n°1 (individu sain), les lymphocytes T régulateurs orchestrent les mécanismes de suppression des lymphocytes T autoréactifs au niveau du thymus et en périphérie.
Dans le cas n°2 (individu diabétique), une altération de la fonction des lymphocytes T régulateurs induit l’échappement d’un grand nombre de lymphocytes T autoréactifs en périphérie, dirigés contre des antigènes des cellules β. Cela entraîne la destruction de ces cellules et l’apparition d’un diabète de type 1.