Le ratio mâle/femelle dans la contribution aux mutations transmises a été analysé par groupe d’espèces. Le biais le plus important s’observe chez deux lignées d’Oiseaux, alors que ce biais est négligeable chez les Actinoptérygiens (poissons à nageoires rayonnées) et les Lépidosauriens (lézards, serpents, iguanes…).