On observe une convergence, c’est à dire une diminution du nombre de cellules des photorécepteurs jusqu’aux cellules ganglionnaires. Dans le même temps, on observe une diversification des types cellulaires, passant de 4 pour les photorécepteurs à plus de vingt pour les cellules ganglionnaires. Ces chiffres sont valables pour l’être humain (Kolb, 1995) ; le nombre de cellules et de types cellulaires peut varier entre les espèces (Baden et coll., 2018).