La population islandaise (en rouge) a subi peu de brassages et ne contient quasiment aucun matériel génétique africain avant les années 1980. En revanche, chez les descendants de Hans Jonathan (en noir), on retrouve une plus grande proportion de tels fragments. Leur proportion diminue avec le temps par brassage avec le reste de la population islandaise, en l’absence de nouveaux apports de génomes africains.