Relation entre la résilience à l’anomalie de température (= coefficient de régression entre la variation du taux de croissance d’une espèce entre 2003 et 2004 et l’anomalie de température estivale) et l’amplitude thermique de l’aire de répartition de l’espèce.
On constate que les espèces qui ont une amplitude thermique importante sur leur aire de distribution ont mieux résisté à la canicule de 2003.