Ces 5 simulations sont effectuées avec les mêmes paramètres que dans la figure précédente, mais sur une population de 1000 individus.
Ces  5 simulations montrent une évolution globalement similaire : la fréquence de l'allèle A1 varie relativement faiblement (donc A2 aussi, mais en sens inverse) d'une génération à l'autre.
La fréquence allélique, au bout de 200 générations, tend vers une valeur stable qui n'est pas très éloignée de sa valeur de départ, l'allèle A1 n'a pas été fixé ni perdu.
De manière générale, plus la population est de taille importante moins le risque de disparition de certains allèles est grand. On tend alors vers un équilibre des fréquences alléliques et donc génotypiques (selon les prévisions de la loi de Hardy-Weinberg).