Depuis 20 ans, Catherine Malaplate travaille sur les mécanismes impliqués dans la neurotoxicité du peptide A2 oligomérique soluble dans différents modèles in vitro et in vivo. Elle contribue au développement et à l'utilisation de modèles cellulaires et murins pour démontrer le rôle crucial de la composition et de l'organisation de la membrane neuronale dans la prévention des dysfonctionnements neuronaux liés à l'âge, avec l'idée que rendre les neurones plus résistants retardera l'apparition des déficits cognitifs associés à la maladie d'Alzheimer. Elle a une expertise dans les études fondamentales sur le rôle de l'homéostasie lipidique dans le vieillissement cérébral et la maladie d'Alzheimer, validée par de nombreuses publications de haut niveau.