Bernard Zalc a travaillé sur l'origine des oligodendrocytes d'un point de vue à la fois phylogénique et ontogénique. Une de ses contributions majeures a été la démonstration de l'existence de sous-populations d'oligodendrocytes en fonction de leurs sites d'origine. D'un point de vue évolutif, il a apporté la preuve que la myéline se retrouve dès les placodermes, les premiers poissons à mâchoires articulées, il y a 425 millions d'années. En collaboration avec Florence Rosier, il a écrit le livre, La myéline, le turbo du cerveau (Odile Jacob 2016) traduit sous le titre Myelin, the brain's supercharger (Oxford University Press 2018).