Louise Dagher est étudiante en dernière année à l'École normale supérieure de Paris, au département de biologie, et se destine à la recherche en biophysique du développement embryonnaire.
Elle possède une formation interdisciplinaire dès son entrée dans l'enseignement supérieur (licence « Frontières du vivant » - Centre de recherches interdisciplinaires, master interdisciplinaire en sciences de la vie (IMALIS) à l'ENS) et a exploré les interfaces en biologie du développement à travers de nombreux stages de recherche (X. Nicol, J-L Maître & S. Descroix, C. Norden, P-F Lenne).
Elle va commencer sous peu sa thèse sous la direction de Jean-Léon Maître (Institut Curie) et de Stéphanie Descroix (Institut Pierre-Gilles de Gennes) pour étudier les paramètres biophysiques et moléculaires régulant la formation du premier lumen mammifère, en utilisant des techniques biophysiques, telle que la microfluidique.
Elle porte beaucoup d'intérêt aux approches interdisciplinaires en recherche et aux différentes innovations pédagogiques dans l'enseignement.